Dépense-t-on moins ou plus en période de confinement ?

L’une des meilleures solutions trouvées par de nombreux Chefs d’État pour lutter contre la crise sanitaire qui actuellement l’humanité est le confinement. Cette période de confinement influence plus ou moins les dépenses ménagères. Est-ce alors une période pour moins dépenser ou plus ? Le présent article vous en dit plus à ce sujet.

Une diminution des dépenses des ménages

Il est constaté dans de nombreuses familles une diminution des dépenses ménagères. Ce constat est plus visible au niveau du trafic routier. De plus, les foyers ne consacrent plus un budget assez élevé pour l’approvisionnement en carburant. Les études ont montré que la consommation des Français a chuté jusqu’à une proportion de 35%. Cette baisse est due à la réduction de certaines dépenses telles que les budgets consacrés à l’habillement et à l’approvisionnement de quelques produits manufacturés. Par ailleurs, ce qui prend la majorité des dépenses est le budget alimentaire. Cette situation impacte beaucoup la finance mondiale. Si vous désirez lire d’autres informations sur la finance du ménage, le site François Delapierre vous propose plusieurs articles intéressants. Cliquez ici pour en voir plus.

Une hausse des prix à priori !

En dehors du fait qu’une diminution de dépense est constatée dans les ménages, il est également constaté une situation de hausse de prix. En effet, le prix global du panier à provisions a vu une augmentation rapide. Ceci s’explique par le fait que de nombreuses personnes ont acheté en conséquence, beaucoup de produits de première nécessité en prélude au confinement. Cet état de chose a engendré une rupture de stock dans les magasins. Par ailleurs, certains consommateurs préfèrent s’approvisionner via le commerce de proximité, alors que là, les biens sont vendus chèrement en toute saison. Ce sont donc les éléments qui expliquent la hausse des prix dans cette situation inédite. Le confinement entraîne donc une hausse générale du niveau des prix qui vient combler la baisse des achats sur certains aspects spécifiques.